Nom: Max
Surnom: Loner Wolf
Age: 16ans
Sexe: Homme
Physique: Max possède deux formes, une humaine et une autre de loup. Sous forme humaine, il est grand et mince presque maigre. Son visage est blême et ses traits presque féminins. Ses yeux gris pâles changent de couleur en fonction de son humeur. Ses cheveux courts sont également noirs mais striés de quelques mèches blanches et sans cesse en bataille. Une fine cicatrice traverse son œil gauche et le coin de sa bouche jusqu'à son menton, lui donnant un air de diable grimaçant. Max est vêtue toujours en noir et ne quitte jamais sa veste en cuir.
Sous forme de loup, il ressemble à un louveteau de quelques mois. Ses yeux sont semblables au bleus des glaciers. Tout comme ses cheveux, sa fourrure est noir exceptée le bout de sa queue blanche comme la neige.
Mental: Max est fou. Une simple phrase pour décrire quelqu'un d'aussi complexe. Il est bipolaire et peut donc passer d'une émotion à une autre en un quart de seconde. Il a des accès de rage qui l'ont déjà poussé à tuer deux personnes. Max peut cependant être très doux et gentil voire même faire preuve de pitié. Il est un peu schizophrénique sur les bords et a pris l'habitude de demande conseil aux voix dans sa tête avant de prendre une décision importante. La joie et l'amour sont des émotions qu'il a fini par oublier.
Histoire:
"Sale monstre! T'as rien à foutre ici!"
Ces mots ne blessaient plus Max depuis longtemps. On l'insultaient depuis tellement longtemps. Max se réfugia dans la forêt, devenue son seul refuge. Heureusement dans une semaine, il irait dans cette école si spéciale où il finira sa scolarité. C'est également un bon moyen pour ses parents de se débarrasser de lui. De ce gamin si bizarre et déjà tueur qui avait fini par passer ses nuits dans la forêt et à sécher les cours. De toute manière c'était mieux pour tout le monde qu'il n'aille presque plus en cours. Ses crises n'étaient jamais prévisibles et il est tout a fait capable de tuer à nouveau.
Il y a deux jours, quand ses parents lui avaient appris qu'ils l'envoyaient dans cette école, il croyait enfin qu'il pourrait être heureux au milieu de d'autres tarés. Heureux... La joie, un sentiment qu'il a fini par oublier, qui faisaient partie de son passé. A cet époque bénie de l'enfance. Bénie peu de temps mais bénie quand même. Bénie jusqu'à ce jour dans la forêt... Il ne se rappelait de rien, juste de s'être réveillée dans une taverne avec cette cicatrice au visage.
